CLICK HERE FOR THOUSANDS OF FREE BLOGGER TEMPLATES »

samedi 16 août 2008

Moustique vicieux

mardi 5 août 2008

Photo de vacances

Désolée pour la déf, j'avais pas emmené mon scanner dans mon minisac de vacances.

jeudi 31 juillet 2008

Brainstorm

mercredi 30 juillet 2008

Fin d'un blog

Après des mois et des mois de blogging, j'arrête le texte.

Je posterai des dessins, aussi régulièrement que possible.
Mais fini les petits mots, les humeurs, drôles ou moins drôles.

Merci à ceux qui m'ont lue pendant ces trois dernières années, je vous bise, et à bientôt en dessin :)

mardi 29 juillet 2008

Atomisons le malentendu

Okay:

Je n'ai pas sombré au plus profond de la dépression. Je vais plutôt super bien, en fait. J'ai glandouillé tout le week-end à jouer à pacman et à wordchallenge sur facebook (niveau cheerleader, save the world...) et je me suis re-po-sée. Non, je n'ai pas rebossé sur un texte qui demande un peu de réflexion avant que je lui mette une dernière claque (la chute).
Taper des listings de codes barre pour intégrer des sélections dans l'ordinateur toute la journée au boulot, ça me bouffe les neurones et le week-end je les réconforte connement à coup de pacman, et ensuite je culpabilise parce que je devrais être en train de bosser sur mon texte. Point.

Je bosse sur le portrait de quelqu'un. Ca me stresse parce que j'ai peur de ne pas arriver à un résultat satisfaisant mais c'est du stress positif. Je fais enfin ce que j'ai envie de faire depuis des années, je dessine. C'est génial. Et l'accueil est bon, ça fait chaud au coeur. Ca, plus la chaleur étouffante qu'on a ces jours-ci, je frôle la surchauffe. Je n'ai pas fait que glander. Je travaille mon oeil et mon coup de crayon. Youpi!

Donc quand je dis que j'ai du mal avec la vie et que j'en rajoute dans le côté sombre, c'est juste pour le décor. Je dors mal, mais c'est pas nouveau, et vu que l'été ma chambre a le climat d'une serre tropicale, je me réveille avec un délicieux mal de crâne après avoir fait des cauchemars. C'est la faute du réchauffement de la planète. Donnez-moi un bout de banquise pour rafraichir l'ambiance. Mais pas d'ours, merci, je tiens à la vie.

Je suis en vacances vendredi soir.
Vacances! V! A! C! A! N! C! E! S! VACANCES!
Si je fais la pompomgirl, va-t-on me dire qu'il y a un fond de vérité?
Parce que là, franchement, je vais me marrer, pour le coup.

bloquée (2)

Youpi, 1h45min pour aller bosser!
Accident grave de voyageur en gare de Magenta.
La circulation des trains est nulle.
Nous vous tiendrons informés dès que possible.
La gare de Val de Fontenay est particulièrement déprimante: le RER passe au milieu d'une route à quatre voies.
Heureusement, à la gare de Val de Fontenay, il y a un stand boulangerie.
J'ai pris un café. J'ai hésité à prendre mon bouquin ce matin. J'ai pas regretté.
Vive Fiona McIntosh.

lundi 28 juillet 2008

Bloquée

J'avais la bonne énergie, pile ce qui fallait. Et elle est partie.
Je n'arrive plus à me mettre à mon bureau pour écrire. J'ai la trouille de me replonger dans l'atmosphère humide et super moisie de mon texte, peur de l'état dans lequel je vais en ressortir.

Y a plein de raisons qui font que je n'arrive pas à écrire.

J'ai des tonnes d'angoisse. Je suis des pistes qui ne veulent pas aboutir. J'ai des points d'interrogation tatoués sur le corps, imprimés dans le cerveau, gravés sous les semelles de mes tongs.

Tout est déréglé.
Je ne sais plus si je tombe bien ou si j'importune.
Avec personne. Avec tout le monde.
Quand quelqu'un vient vers moi et que je me tourne vers lui, je ne sais pas comment je dois être. Je n'arrive même plus à être moi-même. Parce que moi-même est en miettes sous les points d'interrogation de mes semelles. Le boulot pour m'assommer, mes écrits pour m'évader de la réalité, mes dessins pour méditer. Oublier.
Je m'en sortais plutôt pas mal jusqu'à vendredi dernier. Depuis...
Depuis, les insomnies sauce cauchemar ont repris du service.
Pour l'inspiration, c'est génial.
Mais pour affronter l'humanité tous les jours, c'est l'enfer.

dimanche 27 juillet 2008

Hantée!

Je fais des cauchemars. Ou des rêves. Parfois les deux se mêlent, comme dans la vraie vie (celle où je suis consciente). Après, faut pas s'étonner que je dorme si peu. Si les rêves ressemblent aussi furieusement à la réalité, pourquoi vouloir dormir...
J'ai rêvé d'un de mes personnages. Perturbant. Inévitable. Je rêve d'eux avant d'écrire sur eux, c'est normal qu'ils prennent encore plus de place une fois que j'ai commencé à écrire leur histoire. Ils m'échappent. Ils ont une existence propre. Dans mon inconscient. Dans mon imagination. Cette nuit, j'aurais voulu passer plus de temps avec lui, avec Samba, pour le connaître un peu mieux. Enfin, au pire, je le retrouverai demain, quand j'écrirai la suite.

Je dessine, aussi.
Je dessine un ami, qui m'a demandé de faire son portrait. Je suis en train de bosser dessus. Je doute, je ne suis jamais sure de pouvoir être à la hauteur, même si ce genre d'exercice commence à m'être familier. Le plus dur est de décoller de la photo, d'éliminer le plus de traits possible. Ne garder que les proportions de son visage. L'attitude. Et surtout, son regard. Plus je regarde les photos à partir desquelles je travaille, plus ses yeux m'hypnotisent. C'est très agréable de "travailler" dans ces conditions :)
Je mettrai le dessin en ligne dès que je serai satisfaite. D'ici une quinzaine de jours, le temps que j'apprenne à dessiner ses traits par coeur, sans regarder les photos. Ca tombe bien, il apparaîtra un jour ou l'autre dans une bédé sur laquelle je suis en train de travailler - aussi. Cette bédé, je m'y remets la semaine prochaine.

Et dans une semaine, je suis en vacances... Déjà ?

jeudi 24 juillet 2008

Oh my God this is 1 hell of a day

Ce matin ressemble furieusement à un lundi. Alors qu'un lundi par semaine me suffit pourtant amplement, dans l'ensemble.

Pas de problème de transports cette fois.
Enfin presque. Mes 4 métros étaient à l'heure, pas de souci. La vraie galère, ce sont les gens.
J'aime pas ceux qui piétinent derrière vous avant l'ouverture des portes quand, de toute façon, vous ne pouvez pas bouger d'un iota avant que les gens devant ne sortent. D'autant plus quand vous descendez aussi. Le type en question m'a braillé
"pardON!"
dans les oreilles parce que j'écoutais de la musique mais ce n'est pas parce que j'ai un casque que je suis SOOOUUUUUURDE! C'est vrai, quoi. En plus j'ai un casque qui n'embête personne, on ne m'entend pas de l'extérieur. Il m'a agressée avec son sac FNAC brandi comme un sabre. Même si je descendais aussi (cqfd), je l'ai laissé passer, j'allais pas me battre. Il part devant, gambadant comme un cabri d'une cinquantaine d'années.

J'arrive sur le quai de mon métro suivant, et là... le retour du cabri. Evidemment il monte par la même porte. Je sais pas ce qu'il a fichu de son avance prise en sortant du métro précédent, il a dû se perdre ? Toujours est-il que là, c'est le drame. Une ado rebelle est en train d'écouter de la musique avec son téléphone, ces super mobiles qui sont bien, bien pénibles, parce que ça fait ghettoblaster miniature, tout le wagon en profitait. D'accord, c'est une plaie. Mais le cabri (qui ne devait pas être très normal dans sa tête, en fait) a commencé à l'agresser : "Ouais tu baisses ta musique maintenant!" L'ado relou de répondre : "Nan, j'ai déjà baissé." J'étais partagée entre l'envie de mettre une claque à l'ado et l'envie de dire au type qu'il pourrait lui parler un peu mieux que lui gueuler dessus d'entrée de jeu.
Tension, tension. J'avais juste envie de retourner dans ma grotte, chez moi, tranquille, avec personne pour me pourrir l'humeur.

Heureusement, discuter avec Momo, mon boulanger de Charenton, ça m'a réconciliée avec la vie. Il est trop cool, Momo, il dit qu'il va toujours bien, il demande comment ça va et c'est sincère. Et il a l'air vraiment gentil, dans le sens chouette du terme. Un truc, dans son regard. J'aime bien.

Ensuite, j'ai fait boulette sur boulette au boulot, en fait j'ai oublié mes neurones sur ma table de nuit. Cinq cafés n'y ont rien changé. Mon ordinateur a planté une bonne dizaine de fois pour des raisons mystérieuses (Zéro et Un vs bbl, Zéro et un Winner).

Bon sang, l'aprèm va être super longue...


Mercredi

Je voulais dessiner des trucs de kung fu, ce soir. Et des chapeaux. Résultat : un personnage. Ca faisait trois semaines que j'essayais de le dessiner et il est arrivé hier, enfin. Depuis il réapparait au bout de mon stylo sans que je le lui demande. Il était temps. Ne reste plus que trois autres persos à créer pour coller à ce storyboard. Je veux un character designer à plein temps, sur chaque storyboard :) Il m'en faut donc trois... Ca commence à faire beaucoup, tout ça. Et tous ces gens qui me disent de ne pas me disperser... comment on fait ça ?