Ce matin ressemble furieusement à un lundi. Alors qu'un lundi par semaine me suffit pourtant amplement, dans l'ensemble.
Pas de problème de transports cette fois.
Enfin presque. Mes 4 métros étaient à l'heure, pas de souci. La vraie galère, ce sont les gens.
J'aime pas ceux qui piétinent derrière vous avant l'ouverture des portes quand, de toute façon, vous ne pouvez pas bouger d'un iota avant que les gens devant ne sortent. D'autant plus quand vous descendez aussi. Le type en question m'a braillé
"pardON!"
dans les oreilles parce que j'écoutais de la musique mais ce n'est pas parce que j'ai un casque que je suis SOOOUUUUUURDE! C'est vrai, quoi. En plus j'ai un casque qui n'embête personne, on ne m'entend pas de l'extérieur. Il m'a agressée avec son sac FNAC brandi comme un sabre. Même si je descendais aussi (cqfd), je l'ai laissé passer, j'allais pas me battre. Il part devant, gambadant comme un cabri d'une cinquantaine d'années.
J'arrive sur le quai de mon métro suivant, et là... le retour du cabri. Evidemment il monte par la même porte. Je sais pas ce qu'il a fichu de son avance prise en sortant du métro précédent, il a dû se perdre ? Toujours est-il que là, c'est le drame. Une ado rebelle est en train d'écouter de la musique avec son téléphone, ces super mobiles qui sont bien, bien pénibles, parce que ça fait ghettoblaster miniature, tout le wagon en profitait. D'accord, c'est une plaie. Mais le cabri (qui ne devait pas être très normal dans sa tête, en fait) a commencé à l'agresser : "Ouais tu baisses ta musique maintenant!" L'ado relou de répondre : "Nan, j'ai déjà baissé." J'étais partagée entre l'envie de mettre une claque à l'ado et l'envie de dire au type qu'il pourrait lui parler un peu mieux que lui gueuler dessus d'entrée de jeu.
Tension, tension. J'avais juste envie de retourner dans ma grotte, chez moi, tranquille, avec personne pour me pourrir l'humeur.
Heureusement, discuter avec Momo, mon boulanger de Charenton, ça m'a réconciliée avec la vie. Il est trop cool, Momo, il dit qu'il va toujours bien, il demande comment ça va et c'est sincère. Et il a l'air vraiment gentil, dans le sens chouette du terme. Un truc, dans son regard. J'aime bien.
Ensuite, j'ai fait boulette sur boulette au boulot, en fait j'ai oublié mes neurones sur ma table de nuit. Cinq cafés n'y ont rien changé. Mon ordinateur a planté une bonne dizaine de fois pour des raisons mystérieuses (Zéro et Un vs bbl, Zéro et un Winner).
Bon sang, l'aprèm va être super longue...
Pas de problème de transports cette fois.
Enfin presque. Mes 4 métros étaient à l'heure, pas de souci. La vraie galère, ce sont les gens.
J'aime pas ceux qui piétinent derrière vous avant l'ouverture des portes quand, de toute façon, vous ne pouvez pas bouger d'un iota avant que les gens devant ne sortent. D'autant plus quand vous descendez aussi. Le type en question m'a braillé
"pardON!"
dans les oreilles parce que j'écoutais de la musique mais ce n'est pas parce que j'ai un casque que je suis SOOOUUUUUURDE! C'est vrai, quoi. En plus j'ai un casque qui n'embête personne, on ne m'entend pas de l'extérieur. Il m'a agressée avec son sac FNAC brandi comme un sabre. Même si je descendais aussi (cqfd), je l'ai laissé passer, j'allais pas me battre. Il part devant, gambadant comme un cabri d'une cinquantaine d'années.
J'arrive sur le quai de mon métro suivant, et là... le retour du cabri. Evidemment il monte par la même porte. Je sais pas ce qu'il a fichu de son avance prise en sortant du métro précédent, il a dû se perdre ? Toujours est-il que là, c'est le drame. Une ado rebelle est en train d'écouter de la musique avec son téléphone, ces super mobiles qui sont bien, bien pénibles, parce que ça fait ghettoblaster miniature, tout le wagon en profitait. D'accord, c'est une plaie. Mais le cabri (qui ne devait pas être très normal dans sa tête, en fait) a commencé à l'agresser : "Ouais tu baisses ta musique maintenant!" L'ado relou de répondre : "Nan, j'ai déjà baissé." J'étais partagée entre l'envie de mettre une claque à l'ado et l'envie de dire au type qu'il pourrait lui parler un peu mieux que lui gueuler dessus d'entrée de jeu.
Tension, tension. J'avais juste envie de retourner dans ma grotte, chez moi, tranquille, avec personne pour me pourrir l'humeur.
Heureusement, discuter avec Momo, mon boulanger de Charenton, ça m'a réconciliée avec la vie. Il est trop cool, Momo, il dit qu'il va toujours bien, il demande comment ça va et c'est sincère. Et il a l'air vraiment gentil, dans le sens chouette du terme. Un truc, dans son regard. J'aime bien.
Ensuite, j'ai fait boulette sur boulette au boulot, en fait j'ai oublié mes neurones sur ma table de nuit. Cinq cafés n'y ont rien changé. Mon ordinateur a planté une bonne dizaine de fois pour des raisons mystérieuses (Zéro et Un vs bbl, Zéro et un Winner).
Bon sang, l'aprèm va être super longue...
2 commentaires:
Ah les joies du métro et de ses usagers !!! quelle joie de ne plus avoir besoin d'en être (des usagers ^^)
la bise from Beauce
PS : pour te remonter le moral et te dire que quand même le métro c'est top ! :
http://www.youtube.com/watch?v=DcC31r1BxBY
de rien c'est gratuit ! :p
Hub> ben si merci quand meme elle est canon cette video!
Bises!
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