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jeudi 31 juillet 2008

Brainstorm

mercredi 30 juillet 2008

Fin d'un blog

Après des mois et des mois de blogging, j'arrête le texte.

Je posterai des dessins, aussi régulièrement que possible.
Mais fini les petits mots, les humeurs, drôles ou moins drôles.

Merci à ceux qui m'ont lue pendant ces trois dernières années, je vous bise, et à bientôt en dessin :)

mardi 29 juillet 2008

Atomisons le malentendu

Okay:

Je n'ai pas sombré au plus profond de la dépression. Je vais plutôt super bien, en fait. J'ai glandouillé tout le week-end à jouer à pacman et à wordchallenge sur facebook (niveau cheerleader, save the world...) et je me suis re-po-sée. Non, je n'ai pas rebossé sur un texte qui demande un peu de réflexion avant que je lui mette une dernière claque (la chute).
Taper des listings de codes barre pour intégrer des sélections dans l'ordinateur toute la journée au boulot, ça me bouffe les neurones et le week-end je les réconforte connement à coup de pacman, et ensuite je culpabilise parce que je devrais être en train de bosser sur mon texte. Point.

Je bosse sur le portrait de quelqu'un. Ca me stresse parce que j'ai peur de ne pas arriver à un résultat satisfaisant mais c'est du stress positif. Je fais enfin ce que j'ai envie de faire depuis des années, je dessine. C'est génial. Et l'accueil est bon, ça fait chaud au coeur. Ca, plus la chaleur étouffante qu'on a ces jours-ci, je frôle la surchauffe. Je n'ai pas fait que glander. Je travaille mon oeil et mon coup de crayon. Youpi!

Donc quand je dis que j'ai du mal avec la vie et que j'en rajoute dans le côté sombre, c'est juste pour le décor. Je dors mal, mais c'est pas nouveau, et vu que l'été ma chambre a le climat d'une serre tropicale, je me réveille avec un délicieux mal de crâne après avoir fait des cauchemars. C'est la faute du réchauffement de la planète. Donnez-moi un bout de banquise pour rafraichir l'ambiance. Mais pas d'ours, merci, je tiens à la vie.

Je suis en vacances vendredi soir.
Vacances! V! A! C! A! N! C! E! S! VACANCES!
Si je fais la pompomgirl, va-t-on me dire qu'il y a un fond de vérité?
Parce que là, franchement, je vais me marrer, pour le coup.

bloquée (2)

Youpi, 1h45min pour aller bosser!
Accident grave de voyageur en gare de Magenta.
La circulation des trains est nulle.
Nous vous tiendrons informés dès que possible.
La gare de Val de Fontenay est particulièrement déprimante: le RER passe au milieu d'une route à quatre voies.
Heureusement, à la gare de Val de Fontenay, il y a un stand boulangerie.
J'ai pris un café. J'ai hésité à prendre mon bouquin ce matin. J'ai pas regretté.
Vive Fiona McIntosh.

lundi 28 juillet 2008

Bloquée

J'avais la bonne énergie, pile ce qui fallait. Et elle est partie.
Je n'arrive plus à me mettre à mon bureau pour écrire. J'ai la trouille de me replonger dans l'atmosphère humide et super moisie de mon texte, peur de l'état dans lequel je vais en ressortir.

Y a plein de raisons qui font que je n'arrive pas à écrire.

J'ai des tonnes d'angoisse. Je suis des pistes qui ne veulent pas aboutir. J'ai des points d'interrogation tatoués sur le corps, imprimés dans le cerveau, gravés sous les semelles de mes tongs.

Tout est déréglé.
Je ne sais plus si je tombe bien ou si j'importune.
Avec personne. Avec tout le monde.
Quand quelqu'un vient vers moi et que je me tourne vers lui, je ne sais pas comment je dois être. Je n'arrive même plus à être moi-même. Parce que moi-même est en miettes sous les points d'interrogation de mes semelles. Le boulot pour m'assommer, mes écrits pour m'évader de la réalité, mes dessins pour méditer. Oublier.
Je m'en sortais plutôt pas mal jusqu'à vendredi dernier. Depuis...
Depuis, les insomnies sauce cauchemar ont repris du service.
Pour l'inspiration, c'est génial.
Mais pour affronter l'humanité tous les jours, c'est l'enfer.

dimanche 27 juillet 2008

Hantée!

Je fais des cauchemars. Ou des rêves. Parfois les deux se mêlent, comme dans la vraie vie (celle où je suis consciente). Après, faut pas s'étonner que je dorme si peu. Si les rêves ressemblent aussi furieusement à la réalité, pourquoi vouloir dormir...
J'ai rêvé d'un de mes personnages. Perturbant. Inévitable. Je rêve d'eux avant d'écrire sur eux, c'est normal qu'ils prennent encore plus de place une fois que j'ai commencé à écrire leur histoire. Ils m'échappent. Ils ont une existence propre. Dans mon inconscient. Dans mon imagination. Cette nuit, j'aurais voulu passer plus de temps avec lui, avec Samba, pour le connaître un peu mieux. Enfin, au pire, je le retrouverai demain, quand j'écrirai la suite.

Je dessine, aussi.
Je dessine un ami, qui m'a demandé de faire son portrait. Je suis en train de bosser dessus. Je doute, je ne suis jamais sure de pouvoir être à la hauteur, même si ce genre d'exercice commence à m'être familier. Le plus dur est de décoller de la photo, d'éliminer le plus de traits possible. Ne garder que les proportions de son visage. L'attitude. Et surtout, son regard. Plus je regarde les photos à partir desquelles je travaille, plus ses yeux m'hypnotisent. C'est très agréable de "travailler" dans ces conditions :)
Je mettrai le dessin en ligne dès que je serai satisfaite. D'ici une quinzaine de jours, le temps que j'apprenne à dessiner ses traits par coeur, sans regarder les photos. Ca tombe bien, il apparaîtra un jour ou l'autre dans une bédé sur laquelle je suis en train de travailler - aussi. Cette bédé, je m'y remets la semaine prochaine.

Et dans une semaine, je suis en vacances... Déjà ?

jeudi 24 juillet 2008

Oh my God this is 1 hell of a day

Ce matin ressemble furieusement à un lundi. Alors qu'un lundi par semaine me suffit pourtant amplement, dans l'ensemble.

Pas de problème de transports cette fois.
Enfin presque. Mes 4 métros étaient à l'heure, pas de souci. La vraie galère, ce sont les gens.
J'aime pas ceux qui piétinent derrière vous avant l'ouverture des portes quand, de toute façon, vous ne pouvez pas bouger d'un iota avant que les gens devant ne sortent. D'autant plus quand vous descendez aussi. Le type en question m'a braillé
"pardON!"
dans les oreilles parce que j'écoutais de la musique mais ce n'est pas parce que j'ai un casque que je suis SOOOUUUUUURDE! C'est vrai, quoi. En plus j'ai un casque qui n'embête personne, on ne m'entend pas de l'extérieur. Il m'a agressée avec son sac FNAC brandi comme un sabre. Même si je descendais aussi (cqfd), je l'ai laissé passer, j'allais pas me battre. Il part devant, gambadant comme un cabri d'une cinquantaine d'années.

J'arrive sur le quai de mon métro suivant, et là... le retour du cabri. Evidemment il monte par la même porte. Je sais pas ce qu'il a fichu de son avance prise en sortant du métro précédent, il a dû se perdre ? Toujours est-il que là, c'est le drame. Une ado rebelle est en train d'écouter de la musique avec son téléphone, ces super mobiles qui sont bien, bien pénibles, parce que ça fait ghettoblaster miniature, tout le wagon en profitait. D'accord, c'est une plaie. Mais le cabri (qui ne devait pas être très normal dans sa tête, en fait) a commencé à l'agresser : "Ouais tu baisses ta musique maintenant!" L'ado relou de répondre : "Nan, j'ai déjà baissé." J'étais partagée entre l'envie de mettre une claque à l'ado et l'envie de dire au type qu'il pourrait lui parler un peu mieux que lui gueuler dessus d'entrée de jeu.
Tension, tension. J'avais juste envie de retourner dans ma grotte, chez moi, tranquille, avec personne pour me pourrir l'humeur.

Heureusement, discuter avec Momo, mon boulanger de Charenton, ça m'a réconciliée avec la vie. Il est trop cool, Momo, il dit qu'il va toujours bien, il demande comment ça va et c'est sincère. Et il a l'air vraiment gentil, dans le sens chouette du terme. Un truc, dans son regard. J'aime bien.

Ensuite, j'ai fait boulette sur boulette au boulot, en fait j'ai oublié mes neurones sur ma table de nuit. Cinq cafés n'y ont rien changé. Mon ordinateur a planté une bonne dizaine de fois pour des raisons mystérieuses (Zéro et Un vs bbl, Zéro et un Winner).

Bon sang, l'aprèm va être super longue...


Mercredi

Je voulais dessiner des trucs de kung fu, ce soir. Et des chapeaux. Résultat : un personnage. Ca faisait trois semaines que j'essayais de le dessiner et il est arrivé hier, enfin. Depuis il réapparait au bout de mon stylo sans que je le lui demande. Il était temps. Ne reste plus que trois autres persos à créer pour coller à ce storyboard. Je veux un character designer à plein temps, sur chaque storyboard :) Il m'en faut donc trois... Ca commence à faire beaucoup, tout ça. Et tous ces gens qui me disent de ne pas me disperser... comment on fait ça ?

Dessins série 2



mercredi 23 juillet 2008

Dessins série 1






lundi 21 juillet 2008

1hr45min to get to work. Naaaaa... Don't tell me. It's Monday again, right ?

Quand on plonge dans certaines ambiances, tendance électro ponctuée de cris de machines - ou pas, on n'en ressort pas indemne. Ce matin, en arrivant au boulot après une heure trois quarts de transport, j'aurais pu mordre quelqu'un. D'autant que ça voulait dire que je n'avais toujours pas bu de café à 9h.

Journée difficile.

Si l'on excepte la virée au pizza hut où il a été prouvé une fois de plus que ce ne sont pas toujours ceux qu'on croit qui ont le meilleur sens de l'orientation.

Et le déjeuner au parc avec mes deux S.

Et le fait que j'aie mis mes tongs toute la journée au bureau.

PS m'a donné un autre album d'Aphex Twin. C'est très bien pour ce que j'ai. C'est très bien pour ce que je fais. Pour mes immersions dans un monde qui n'est pas franchement meilleur que celui dans lequel je vis. J'en ressors éreintée, déprimée, vidée.

Et petit à petit, ça ira mieux.

Parce que j'aurai fini de taper ces soixante mille signes qui sont le point de départ d'une longue aventure. Comme pour Aphex Twin. PS dit que c'est une longue promenade que j'amorce en découvrant ses albums. PS dit aussi que ses amis lui disent souvent qu'il écoute de la musique de sonnerie de téléphone portable, et il admet que ce n'est pas forcément faux. Ils font plein de sonneries très bien, maintenant.

samedi 19 juillet 2008

Rush rush rush



J'ai mis mes lunettes. Je suis collée à mon ordinateur et je tape comme une dingue depuis hier soir. Mon ami le Petit Robert est ouvert à côté de moi et me fournit du matos, du mot au kilo. Je vais avoir mal au crâne ce soir en me couchant mais je m'en fous.

Je dois écrire cette histoire.
C'est glauque. J'ai découvert qu'au sens étymologique, glauque, c'est vert pâle, de la couleur de la mer. Ce mot sinistre en devient beau. Mais écrire glauque, ce n'est pas à l'encre verte et j'aurai besoin de toute la lumière d'un jour d'été demain pour m'en remettre.

C'est une urgence. Une évidence.
Je prends une aspirine et j'y retourne.

jeudi 17 juillet 2008

Trahie par la technique

Et voilà: je voulais mettre des dessins en ligne, youpilala, et évidemment, ça ne marche pas. En ce moment les blogs n'aiment pas que je publie des images, c'était la même chose sur astébaré hier soir. Les dieux Zéro et Un sont contre moi! A l'aide!

J'y comprends rien

Parfois on espère une réaction. Une engueulade. Quelque chose.
Et puis rien.
Le vide.
L'absence.
De mot. D'explication. De sentiment.

L'absence.
Ma hantise depuis toujours.

Et je ne suis plus rien.

mercredi 16 juillet 2008

Le creux de la vague

J'ai cueilli ma douleur dans le creux de ma main.
Me suis penchée sur la mer et l'ai déposée sous une vague.

Je me sens légère.
Comme une bulle.
Fragile.
Eclate au moindre choc.
Handle with care.
Ou j'explose.

dimanche 13 juillet 2008

Colère

J'avais peur du vide. L'angoisse du manque. La panique lié à l'abandon, être laissée sur le bord de la route. Alors, le Roi du chaos m'a rendu la colère. Celle qui comble le vide, atomise le manque et pulvérise les doutes.

Ma vieille amie la colère. Je la connais bien, nous cohabitons depuis toujours. Elle m'avait quittée quelques semaines, le temps de voir ce que je serais capable de faire sans elle. L'essai n'étant pas probant, elle est revenue à la maison. Elle ne m'a pas trahie, toujours présente quand je suis sur le point de basculer. Elle me remet les deux pieds sur terre et me propose de regarder devant, et pas derrière. Prendre du recul. Et construire, de nouveau.

Parce que si le Roi du chaos est une impossibilité, beaucoup d'autres voies, routes et chemins de traverses s'ouvrent à moi. Et quoi qu'il arrive, j'avance. Le sur-place ne me ressemble pas. Me contenter de peu ne me ressemble pas non plus.
J'apprends doucement à faire des compromis.
Il en est auxquels je ne consentirai pas.
Point.

mercredi 9 juillet 2008

Alibi

Hier soir, à l'atelier de dessin, je ne suis pas arrivée à dessiner un homme musclé, épaules larges, etc. Du coup, aujourd'hui, pour éduquer mes yeux, j'ai regardé tous les gars bien bâtis qui pouvaient passer à portée des mirettes. Me suis bien amusée ^-^

mardi 8 juillet 2008

Changement de décor

Ce week-end, je m'en vais vers des cieux plus cléments, le soleil du sud qui donne un teint doré à ma peau (surtout ne pas oublier la crème solaire indice 50). Je vais me reposer, recharger les batteries et retrouver mes cheveux rouges.

Dessiner, dessiner, dessiner (ceci n'est pas seulement de la méthode Coué).
Ecrire, aussi (voir ligne précédente).
Vive la fête nationale, vive les jours fériés.
A défaut d'autre chose.

dimanche 6 juillet 2008

Ma douleur

Je me sens mal. C'est horrible et c'est dimanche. Deux bonnes raisons de rester cachée au fond de ma caverne. Même si, finalement, j'aurais pu sortir me balader en tongs aujourd'hui,puisque le soleil est revenu.
J'ai le coeur à rien. Pas envie de dessiner. Ni d'écrire. Rien. Pas parler. Pas manger. Boire de la flotte, encore, parce que sinon j'ai mal. Cette manie stupide que j'ai de somatiser.
Il suffira pas juste de serrer les dents. J'croyais. Mais non.
2008 ne vaut pas mieux que les 3 dernières années.

samedi 5 juillet 2008

Voilà l'été???

Hier, grosse chaleur, grand soleil, cela laissait de l'espoir pour le week-end. En émergeant péniblement de quelques heures de coma réparateur après cette semaine éreintante où j'ai fait appel à toute ma conscience professionnelle pour ne pas me mettre en arrêt maladie (mais pourquoi, pourquoi, pourquoi... je devrais, je sais), j'ai ouvert le rideau et constaté que le ciel était couvert de nuages pourris.

J'ai rangé les tongs en faisant la tronche.

J'ai regardé combien de pièces il me restait dans mon porte-monnaie. Il faut savoir une chose: j'ai la chance d'avoir une boulangerie en bas de mon immeuble. La bonne nouvelle, c'est que c'est pratique. La mauvaise nouvelle, c'est que la boulangère est une sorcière. Elle a le physique de la sorcière et elle est désagréable. Quand on a le malheur de sortir un billet de 10€ de son porte-monnaie pour se payer 2 croissants, on a droit au:"Vous n'avez pas plus petit? Non parce que tout le monde fait pareil. Et je peux pas donner de la monnaie à tout le monde, moi." Et elle soupire méchamment. Même pas à vous fendre le coeur... Non, méchamment, pour bien vous faire sentir comme vous êtes de vilaines et perverses créatures venues pour la dépouiller de ses centimes.

Résultat: la plupart du temps, je me contente de croissants, parce qu'en monnaie, j'ai pas les moyens de m'offrir autre chose. Et j'avoue... elle me fait flipper.

J'ai rassemblé mon euro et les soixante-dix centimes qui allaient avec et je suis sortie, en tee-shirt. En passant par le local poubelle j'ai constaté que non seulement le ciel était couvert mais aussi qu'il pleuvait.

J'ai traversé la rue en évitant les flaques d'eau et les voitures et je suis entrée dans la boulangerie. Une petite fille était appuyée à la vitrine contenant les viennoiseries, les deux mains bien appliquées sur la vitre, le visage consciencieusement collé à la paroi, bavant juste pour le fun, parce que les gamins sont comme ça. La mère ne disait rien, elle prenait sa baguette. J'ai tout de suite senti que la sorcière était énervée, elle devait avoir passé un temps certain à nettoyer, je reconnais, c'est agaçant, mais c'est la vie d'une vitrine de boulangerie, d'avoir des traces de doigts et de bave dessus, non? La môme ne voulait plus bouger même si sa mère lui demandait de sortir, parce que la pluie, c'est nul, surtout quand on n'a pas le droit de sauter dans les flaques. La sorcière a dit:"Je te garde pour nettoyer les vitres, maintenant que tu as mis tes mains dessus? Tu ne devrais pas y coller ton visage, c'est plein de microbes, tu vas avoir des boutons." La gamine est sortie en pleurant -je n'exagère même pas :(- et j'ai demandé mes deux croissants. Je suis sortie en courant me réfugier chez moi.

Monde hostile.
Tant de cruauté de bon matin... de bon midi, ça me flingue le moral.
Pourquoi la pluie?

vendredi 4 juillet 2008

Soleil

Parfois tout se débloque en même temps. Après une semaine très calme, avec pas grand chose de neuf à signaler si ce n'est ma santé pourrie qui m'a poussée à appeler SOS médecin en catastrophe dimanche soir pour gober une maxi dose d'antibiotique qui m'a flinguée pour la semaine, le téléphone a sonné, un appel privé, ce qui est toujours bon signe quand on est la recherche de nouvelles opportunités (sauf quand c'est la banque qui appelle, où là, en général, ça pue).

Métaphore du pêcheur:
Et puis aujourd'hui, une des lignes que j'avais lancées a frémi.
Pas celle que je privilégiais, dont je pensais avoir paumé l'appât.
Ce qui importe, c'est d'aller vers d'autres horizons.
Alors on verra bien.
Mais je ne dirai pas oui à n'importe quoi. Ca, c'est terminé. Parce que dorénavant, je sais ce que je veux :)