Je tiens, je tiens, je tiens, j'écris des posts tous les jours, chouette.
Par contre des commentaires tous les jours, ça ne marche pas.
Une journée partagée entre coups de gueule et fous rire.
"Coupez-moi ces têtes", disait la dame de coeur. Ici c'est le roi de pique qui gère, il veut des têtes lui aussi, c'est visiblement un truc de monarque. Je me demande si sa complice n'est pas la cousine de la dame de coeur, je leur trouve un drôle d'air de famille. Il voudrait couper une tête mais la personne à qui cette tête appartient encore se faufile entre les pièges et parvient gagner de petits sursis. En attendant, les sujets sont emprisonnés, les mains attachées par des chaînes comptant quatre cadenas. Les clés sont entre les mains de quatre personnes différentes. Aux sujets de courir aux 4 coins du royaume pour récupérer les clés en question, dans l'espoir vain d'accomplir les tâches pour lesquelles ils sont payés. Le roi de pique ne manquera pas de le leur rappeler quand les objectifs ne seront pas atteints, quand bien même lui-même a décidé de ralentir la machine. On ne contredit pas son monarque.
Devant le roi de pique le sujet s'incline.
Le sujet songe à ce qu'il fera de sa liberté quand l'horloge indiquera 18h.
Le sujet regarde ses compatriotes fuir vers des contrées lointaines et se demande s'il est vraiment sage de faire le dos rond et d'attendre que la crise passe.
Ah, l'autre côté du miroir.
Un drôle d'endroit.
Ce royaume s'appelle Oulala.
Bientôt des aventures illustrées d'un sujet - une sujette? - du royaume d'Oulala.
J'ai rencontré un extra-terrestre qui a quitté sa planète pour vivre parmi les terriens, ça me rappelle ma propre planète. On échange nos souvenirs respectifs de là-bas, où on retourne la nuit dans nos rêves et le jour dans nos rêves éveillés. Il me raconte sa mythologie et je lui parle de mes dieux absurdes.
Il dit que les gens qui nettoient le ciel utilisent une espèce de lessive qui produit un max de mousse. Ils nettoient toujours au même endroit et évacuent la mousse (=nuages) toujours vers le même endroit, plus au nord. Paris est un endroit de prédilection où stocker la mousse.
Et l'été, ils sont en vacances.
Sauf que comme l'entreprise du ciel (dirigée par un pote du dieu des transports, c'est certain, je vais me renseigner) change de prestataire pour le nettoyage tous les ans, les employés n'ont plus de vacances et c'est comme ça qu'on se retrouve avec un temps pourri sur Paris tous les étés.
C'est moche.
Pourtant c'est vers ce genre de rêve que nous porte notre imagination.
Je regarde Oscar the Grouch sur Youtube, qui chante "I love trash" et je me dis qu'il tripperait de faire un concert dans la déchetterie d'à côté. Et le cookie monster serait heureux dans le tiroir de mon bureau où il y a toujours une boite de cookies.
C is for cookie, that's good enough for me!
Par contre des commentaires tous les jours, ça ne marche pas.
Une journée partagée entre coups de gueule et fous rire.
"Coupez-moi ces têtes", disait la dame de coeur. Ici c'est le roi de pique qui gère, il veut des têtes lui aussi, c'est visiblement un truc de monarque. Je me demande si sa complice n'est pas la cousine de la dame de coeur, je leur trouve un drôle d'air de famille. Il voudrait couper une tête mais la personne à qui cette tête appartient encore se faufile entre les pièges et parvient gagner de petits sursis. En attendant, les sujets sont emprisonnés, les mains attachées par des chaînes comptant quatre cadenas. Les clés sont entre les mains de quatre personnes différentes. Aux sujets de courir aux 4 coins du royaume pour récupérer les clés en question, dans l'espoir vain d'accomplir les tâches pour lesquelles ils sont payés. Le roi de pique ne manquera pas de le leur rappeler quand les objectifs ne seront pas atteints, quand bien même lui-même a décidé de ralentir la machine. On ne contredit pas son monarque.
Devant le roi de pique le sujet s'incline.
Le sujet songe à ce qu'il fera de sa liberté quand l'horloge indiquera 18h.
Le sujet regarde ses compatriotes fuir vers des contrées lointaines et se demande s'il est vraiment sage de faire le dos rond et d'attendre que la crise passe.
Ah, l'autre côté du miroir.
Un drôle d'endroit.
Ce royaume s'appelle Oulala.
Bientôt des aventures illustrées d'un sujet - une sujette? - du royaume d'Oulala.
J'ai rencontré un extra-terrestre qui a quitté sa planète pour vivre parmi les terriens, ça me rappelle ma propre planète. On échange nos souvenirs respectifs de là-bas, où on retourne la nuit dans nos rêves et le jour dans nos rêves éveillés. Il me raconte sa mythologie et je lui parle de mes dieux absurdes.
Il dit que les gens qui nettoient le ciel utilisent une espèce de lessive qui produit un max de mousse. Ils nettoient toujours au même endroit et évacuent la mousse (=nuages) toujours vers le même endroit, plus au nord. Paris est un endroit de prédilection où stocker la mousse.
Et l'été, ils sont en vacances.
Sauf que comme l'entreprise du ciel (dirigée par un pote du dieu des transports, c'est certain, je vais me renseigner) change de prestataire pour le nettoyage tous les ans, les employés n'ont plus de vacances et c'est comme ça qu'on se retrouve avec un temps pourri sur Paris tous les étés.
C'est moche.
Pourtant c'est vers ce genre de rêve que nous porte notre imagination.
Je regarde Oscar the Grouch sur Youtube, qui chante "I love trash" et je me dis qu'il tripperait de faire un concert dans la déchetterie d'à côté. Et le cookie monster serait heureux dans le tiroir de mon bureau où il y a toujours une boite de cookies.
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